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Le blog de Lucien

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18 septembre 2010

Mesrine 1 et 2 de Jean François Richet. Une splendeur !

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22 août 2010

Eva Joly candidate à la présidencielle...

Les verts lancent Eva Joly dans la course à la présidentielle

Si la candidature de l'ancienne magistrate semble faire consensus, de nombreuses questions demeurent toutefois autour de la future structure.

 

Eva Joly, eurodéputée d'Europe Ecologie. AFP

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Les Verts et Europe Ecologie ont lancé samedi 21 août Eva Joly dans la course à la présidentielle, après leurs trois Journées d'été à Nantes également marquées par un Daniel Cohn-Bendit en retrait sur les questions d'organisation du rassemblement des écologistes.

 

Sur le même sujet

Samedi soir, Cecile Duflot et Eva Joly, longuement ovationnées, ont clos les Journées main dans la main, la numéro un des Verts et l'eurodéputée n'ayant cessé d'afficher leur bonne entente et leur complémentarité sur le campus nantais après que Cecile Duflot eut annoncé ne pas se sentir aujourd'hui "les épaules suffisantes" pour mener la campagne présidentielle.

Sur la scène de l'amphithéâtre archi-comble de la faculté de droit du campus nantais (1.000 militants), Eva Joly a plaidé pour la "transformation écologique et éthique de la société avec la justice sociale au centre".

Fustigeant la politique sécuritaire "populiste" de Nicolas Sarkozy, l'ex-juge franco-norvégienne a tiré profit de son accent. "Il y a les accents de Marseille, de Béthune, de Strasbourg, des Roms, des Italiens, on a du mal à les entendre dans notre société, d'une certaine façon je les représente aussi", a-t-elle lancé, très applaudie.

 

"Un pacte d'alternative démocratique"

Cécile Duflot, s'exprimant "peut-être pour la dernière fois comme secrétaire nationale des Verts", a affirmé la "nécessité de mettre en oeuvre un pacte d'alternative démocratique" pour une "République qui rassemble et libère".

Se projetant en 2012, Eva Joly avait annoncé dans l'après-midi qu'elle souhaitait "s'immerger dans les problèmes concrets des Français" en allant "beaucoup" sur le terrain.

Avouant à demi-mots qu'elle ne maîtrisait pas tous les dossiers, l'ex-juge anti-corruption a dit son "désir" d'une campagne "extraordinairement collective" car "personne ne pense qu'un candidat a la science infuse".

Souhaitant "associer la diversité des intelligences", elle compte se faire aider, entre autres, par Cécile Duflot, Jose Bove sur l'agriculture ou Yannick Jadot sur le nucléaire. Cohn-Bendit lui a "promis solennellement qu'il serait toujours à (ses) côtés".

 

Un "mouvement unifié"

Si la candidature de "l'écoJoly" semble faire consensus même si rien n'est encore officiellement décidé (des primaires écologistes pourraient avoir lieu en 2011), d'autres questions restent en suspens sur l'avenir d'Europe Ecologie.

Le principe d'un "mouvement unifié", sorte de parti unique fusionnant Verts et EE, est acquis et verra le jour officiellement aux assises de l'écologie à Lyon (13-14 novembre). Mais sa direction reste à définir.

Daniel Cohn-Bendit, parti samedi matin de Nantes, a, lui, répété qu'il "démissionnait de son poste de Zorro" sur le sujet, tout en plaidant pour un binôme Cécile Duflot-Yannick Jadot.

Une des hypothèses qui semble désormais tenir la corde consisterait à confier la présidence du nouvel ensemble à l'eurodéputé Jean-Paul Besset, proche de Nicolas Hulot et co-fondateur d'EE. Mme Duflot conserverait le "pilotage exécutif" et au moins deux porte-parole seraient nommés.

Il faudra aussi aux écologistes régler l'épineuse question de la validation des décisions à prendre lors des assises à Lyon : qui vote? et comment?

Ces Journées d'été auront en tout cas été très studieuses pour les 2.200 militants écolos inscrits qui ont travaillé sur les retraites, la santé, se sont demandé "ce que ferait un écologiste au ministère de l'Intérieur" ou si le PS avait "le monopole du care" cher à Martine Aubry.

Car Europe Ecologie compte proposer un vrai projet de gouvernement. Cécile Duflot a ainsi rappelé qu'il n'y aurait "pas de projet commun" avec le PS mais "un contrat" de gouvernement "sur un certain nombre de réalisations".

(Nouvelobs.com avec AFP)

 

30 janvier 2010

I Pad Vidéo

L'I Pad j'en avais rêvé comme outil de transmission du savoir. Peu importe que ce soit un produit Apple ou autre, c'est une évolution normale de la facilité du tactile aussi bien pour des élèves de maternelle que leurs grands parents encore chez eux ou en maison de retraite.

L'avenir est là, même si on n'en mesure pas encore la portée.

http://www.lesnumeriques.com/news_id-12525.html

Idéal pour un correcteur Cned...qui travaille en surlignant au doigt... et en rajoutant des remarques entre les lignes du texte élève ou en marge...en utilisant le clavier tactile qu'il met où il veut sur la tablette.

L'élève peut intégrer des photos dans son devoir, sans utiliser la souris. On est loin de :insérer image, graphique etc dans Word ou Power Point.

Moi ce truc là je me permets de dire que je l'avais vu venir parce qu'il me semblait indispensable. Un retour à la maquette d'un journal ou d'un magazine mais sans colle, ni scotch etc.

Et puis un plus pour la lecture des journaux, livres, etc.


J'y reviendrai.

6 janvier 2010

Avatar,critiques et bande annonce...

6 janvier 2010

Johnny se dope à la cocaïne...c'est pour cela que seul un comas artificiel peut l'endormir...

Le Monde n°16468 du  mercredi 7 janvier.
Johnny a accordé un interview "décapant" au journaliste-écrivain Daniel Rondeau.
Voici quelques phrases chocs sorties de l'interview :

"Je sais que le bonheur n'existe pas. Il n'y a que la douleur. Et la solitude."
"Maintenant, je me bats pour me défendre, pour me sauver, je n'ai plus la foi, ou plutôt je l'ai d'une autre façon. Je sais que je ne peux pas vivre autrement que je vis, c'est à dire en chantant... "
"Et moi je suis comme ces grands malades qui se battent pour ne pas mourir"
"Oui la cocaïne, j'en ai pris longtemps en tombant de mon lit le matin. Maintenant, c'est fini. J'en prends pour travailler, pour relancer la machine, pour tenir le coup. Il n'a pas à s'en vanter, je n'en suis pas fier, c'est ainsi, c'est tout."
"J'ai peur de la mort. Prendre ma voiture et me tuer en allant à Deauville ne me fait pas peur. Mourir dans l'action ne me fait pas peur, mais la certitude de l'échéance inévitable est effrayante. Dans l'absolu, mon rêve, c'est d'y passer violemment sans m'en rendre compte. Comme James Dean."
"J'ai beaucoup de défauts, mais celui que je ne supporte pas chez les autres c'est le racisme."

Difficile d'apporter un jugement sur de tels propos, l'interview est un moment de vérité de la part de Johnny.
Qu'apporter en disant que ce n'est pas une bonne chose pour lui, le modèle, celui que nous suivons, d'avouer qu'il prends de la cocaïne pour continuer. Mais comment rester serein quand on se doit de ne jamais avoir de faiblesse.
Quand le public devient de jour en jour plus exigeant, il faut toujours avoir la flamme. Bien sur, tout le monde peut s'en douter, mais fallait-il l'avouer quand tant de jeunes encore aujourd'hui s'identifient à lui.
Ce récit sur l'homme est sûrement un tournant dans les interviews faits sur Johnny, beaucoup vont découvrir, que même si Johnny a le blues, il a beaucoup de choses à dire. Bonnes ou moins bonne. Lui seul est juge de ses vérités.
Et surtout comme toujours, Johnny prouvera qu'il est le plus grand. Et tous de le reconnaître...
Nous pensons tous que Johnny est tel qu'en lui-même, celui qui nous apporte la joie.

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22 décembre 2009

Hommage à Claude Guillarmau mort le 24/12/2008, c'était mon meilleur ami...

 

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En Suisse avec ses amis hollandais:

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18 décembre 2009

C'est la fin des ordinateurs branchés...

L'internet fixe vivrait ses dernières années...

Florence Legrand
18 Décembre 2009 11h42

L'Internet mobile va supplanter l'Internet fixe d'ici cinq ans. C'est ce que prédit une longue analyse de Mary Meeker, analyste renommée de chez Morgan Stanley, grande banque d'investissements. The Mobile Internet Report annonce que "l'Internet mobile sera plus gros que ne l'imaginent la plupart des gens".

Le développement exponentiel des terminaux mobiles connectés s'accompagne d'une accélération des connexions à Internet. Ce type de terminaux, moins coûteux que des PC de bureau, est dorénavant accessible à une très large partie de la population, toutes catégories confondues. Les pays émergents ne sont pas en reste et vont contribuer à l'explosion du trafic Internet.

En 2015, nous serions donc plus nombreux à nous connecter via un appareil mobile, au détriment des connexions depuis un poste de bureau. L'analyse prévoit même que le marché des smartphones devrait dépasser celui des PC portables, netbooks compris. Bien entendu, cette hypothèse se voit accompagnée d'un important développement des réseaux 3G.

L'iPhone d'Apple, le catalyseur

Si l'on pouvait se connecter au web via un téléphone portable avant la naissance de l'iPhone, la commercialisation de ce terminal a engendré l'arrivée en masse sur le marché d'un nouveau type de mobile. Et l'engouement du public pour ces nouveaux usages n'est pas prêt de se tarir.

Selon l'analyse toujours, certains grands acteurs du secteur pourraient bien battre de l'aile dans ce courant et ne pas profiter de la victoire de l'Internet mobile. L'étude place notamment sur le banc des laissés-pour-compte Microsoft, Sony, Motorola, Ericsson, Vodafone et HTC. En revanche, d'autres pourraient bien tirer profit de la généralisation de ces usages. C'est le cas notamment de RIM, d'Apple et des nouveaux services livrés par les plates-formes de réseaux sociaux, à l'image de Facebook.

Le marché de la téléphonie mobile, porté par le succès du segment des smartphones, devrait rencontrer en 2010 un beau succès. Selon le cabinet GFK, le téléphone portable devrait être le cadeau favori du secteur high-tech offert à Noël.

Source: LesEchos

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L'internet fixe vivrait ses dernières années...

 

27 novembre 2009

Platini/Thierry Henry

LA MAIN DE THIERRY HENRY

Quand Michel Platini réclamait l'arbitrage vidéo

NOUVELOBS.COM | 27.11.2009 | 16:55

En 1990, le président de l'UEFA, alors sélectionneur de l'équipe de France demandait l'utilisation de la vidéo par le arbitres, car "c'est plus facile de revoir une action quand quelqu'un marque de la main"

L'actuel président de l'UEFA, Michel Platini, a estimé qu'on n'avait "pas le droit de perdre sur une erreur d'arbitrage" et a réclamé l'utilisation de la vidéo pour l'arbitrage des matches de football, dans une interview réalisée…le 28 février 1990.
Dans cette vidéo, retrouvée sur le site de l'Ina par le site de 20 minutes.ch, Michel Platini, qui était alors sélectionneur de l'équipe de France affirme : "A un certain moment, il y a des intérêts qui sont énormes: pendant les Coupes du monde, pendant les championnats d'Europe. Et là, on n'a pas le droit de perdre sur une erreur d'arbitrage. Alors que pense que la vidéo peut, peut-être, s'appliquer au niveau des Coupes du monde parce qu'en plus il y a les infrastructures techniques, 10 caméras par match. C'est plus facile de revoir une action quand quelqu'un marque de la main"…
Voir la vidéo:

http://www.ina.fr/sport/football/video/MOC9106180796/interview-michel-platini-sur-le-football-en-france-et-l-arbitrage-video.fr.html

26 octobre 2009

Nef du Grand Palais, Fiac 2009

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26 octobre 2009

FIAC 2009 :Peter Blake, petites collages à 1500 €

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20 octobre 2009

Soulages au Centre Pompidou par Harry Bellet

LE MONDE | 15.10.09 | 16h40

   

Labourage et pâturage sont les deux mamelles de Pierre Soulages. On ira pour s'en convaincre voir la rétrospective en un peu plus d'une centaine d'oeuvres que lui consacre jusqu'au 8 mars 2010 le Centre Pompidou, à Paris. La première date de 1946, la dernière de mars 2009 et, en soixante-trois ans de carrière, le peintre, né en 1919, n'a eu de cesse de tracer son sillon. Droit, profond, malgré quelques tempêtes. Dont une méchante polémique l'opposant jadis, par critiques interposés, à tel ou tel de ses confrères américains. Un problème d'antériorité, auquel l'histoire de l'art a, depuis, fait justice, mais qui continue de hanter l'artiste.

Pierre Soulages : " Il faut voir avec les yeux, et non avec ce que l'on a en tête".

 

Entretien Soulages, peintre du noir : "La lumière est d'une richesse inimaginable"

Vidéo Pierre Soulages, portrait d'un artiste au travail

Au point que l'exposition s'ouvre avec une affiche. Elle avait servi à annoncer une exposition en Allemagne en 1949 et tomberait comme un cheveu sur la soupe, si cet exemplaire-là n'avait une autre histoire : Soulages l'avait offert à Herman Cherry, qui l'emporta à Manhattan et la punaisa au mur de The Club, un lieu où se réunissaient les peintres qui firent ensuite les beaux jours de l'école de New York et qui eurent ainsi du Soulages sous le nez en permanence. Dont acte. La chose paraît aujourd'hui dérisoire, mais l'artiste y tient beaucoup. D'autant que l'épisode n'est pas si anodin que cela, comme le montre la suite de l'exposition, ainsi qu'un texte important de Serge Guilbaut dans le catalogue.

Divisée en dix salles, l'exposition est articulée en deux grandes phases : avant et après le triomphe de la peinture américaine. L'avant, c'est cette période euphorique où un très jeune peintre, alors âgé de moins de 30 ans, devient un des chefs de file de sa génération. Il tâtonne un peu au début, mais, très vite, il impose un geste, ample, puissant, profond. Un geste, pas une gestuelle. Il ne gesticule pas, il trace.

La critique salue, le succès suit, les expositions s'enchaînent, jusqu'à l'Amérique qui l'acclame. Il vend à Nelson Rockefeller, au Guggenheim, au MoMA. James Johnson Sweeney l'expose au Musée de Houston, en 1966. C'est là qu'il aura pour la première fois l'idée d'accrocher, comme on le voit aujourd'hui à Beaubourg, des toiles sur des câbles tendus du sol au plafond.

La seconde phase vient après 1971. Il y a d'ailleurs dans l'exposition un hiatus, avec très peu d'oeuvres de cette décennie. L'Amérique le rejette désormais, comme tout l'art français. S'il en souffre, il n'en continue pas moins. Jusqu'à ce que quelque chose germe. Ce sera "l'outrenoir", comme il le nomme. Le tracé envahit toute la toile. La peinture est là, apparemment monochrome. Noire ? Non. Le noir, dont on pense trop souvent qu'il caractérise Soulages, n'est qu'un moyen.

Avec divers outils, que souvent il confectionne lui-même, il va modeler, moduler la surface, jouer des matités et des brillances. Des lignes de crête, des andains vont arrêter la lumière, se la réexpédier, la faire irradier de toute la toile. Une salle superbe marque cette période : trois tableaux éclairés uniquement par le reflet indirect de la lumière sur le mur qui leur fait face. Soulages est libéré de l'abstraction, de l'expressionnisme et des écoles de Paris ou de New York des années 1950 : il va de l'avant, crée des tableaux où le regard se perd. Le nôtre, le vôtre. Des monuments intemporels livrés en pâture à l'oeil. Et des mondes à ruminer.


"Soulages", Centre Pompidou, place Georges-Pompidou, Paris-4e. Mo Rambuteau. Tél. : 01-44-78-12-33. Jusqu'au 8 mars 2010, de 11 heures à 21 heures. De 9 € à 12 €. Catalogue, 352 p., 44,90 €.

www.centre-pompidou.fr.

Harry Bellet

 

17 octobre 2009

Voilà où devraient se retrouver Sarko et ses conseillers...

 

RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE

     

Première réunion ministérielle aquatique aux Maldives

NOUVELOBS.COM | 17.10.2009 | 11:47

Le gouvernement de l'archipel a tenu sa réunion ministérielle à six mètres de profondeur pour attirer l'attention sur les effets du réchauffement climatique menaçant l'archipel.

Le gouvernement des Maldives a tenu sa réunion ministérielle à six mètres de profondeur pour attirer l'attention sur les effets du réchauffement climatique menaçant l'archipel.(Sipa)

Le gouvernement des Maldives a tenu sa réunion ministérielle à six mètres de profondeur pour attirer l'attention sur les effets du réchauffement climatique menaçant l'archipel.(Sipa)

Le gouvernement des Maldives a tenu samedi 17 octobre sa réunion ministérielle sous l'eau, une première mondiale qui vise à attirer l'attention sur les effets du réchauffement climatique menaçant cet archipel de l'Océan indien. Plus de 80% des terres des Maldives étant situés à moins d'un mètre au-dessus du niveau de la mer, une augmentation d'un mètre du niveau de l'océan suffirait à quasiment engloutir le pays.
Protocole oblige, le président Mohamed Nasheed a plongé le premier, suivi de ses ministres en combinaisons et bouteilles. Une dizaine de ministres ont pris place à six mètres de profondeur autour d'une table en forme de fer à cheval. Très symboliquement, ils ont adopté une résolution appelant à une action mondiale pour la réduction des émissions de CO2.

L'enjeu de Copenhague


Les ministres, qui s'étaient entraînés depuis deux mois, étaient accompagnés de leurs moniteurs pour cette plongée organisée près de l'île Girifushi, à 25 mn en bateau de la capitale de l'archipel, Male.
"Nous devons décrocher un accord à Copenhague  qui puisse permettre à tout le monde de survivre", a déclaré le président âgé de 42 ans en émergeant des eaux turquoises.

Une île submergé par les eaux


Une montée du niveau de la mer d'un mètre seulement submergerait presque totalement le récif corallien composé de 1.192 îles, faisant de cette destination exotique prisée des touristes fortunés l'une des causes célèbres de la lutte contre le changement climatique.
En 2007, la commission intergouvernementale des Nations unies sur le changement climatique a prévenu qu'une hausse du niveau de la mer de 18 à 59 cm d'ici 2100 serait suffisante pour rendre l'île inhabitable. La menace est telle que Mohamed Nasheed a affirmé que son gouvernement envisageait d'acheter de nouvelles terres au cas où l'archipel disparaîtrait sous les eaux.

(Nouvelobs.com)

16 octobre 2009

Arrêtons-les, ces jeunes bandeurs fous !

 

YVELINES

     

Viol collectif dans un train aux Mureaux : huit mises en examen

NOUVELOBS.COM | 16.10.2009 | 10:10


Cinq jeunes ont notamment été mis en examen pour "viol en réunion" et "agression sexuelle en réunion" sur la personne d'une jeune fille de 18 ans abusée dans le train entre les gares de Poissy et des Mureaux (Yvelines).

Une gare RER en banlieue parisienne (Sipa)

Une gare RER en banlieue parisienne (Sipa)   

Cinq jeunes âgés de 16 à 18 ans ont été mis en examen à Versailles, jeudi 15 octobre, pour "viol en réunion" et "agression sexuelle en réunion" sur la personne d'une jeune fille de 18 ans abusée dans le train entre les gares de Poissy et des Mureaux (Yvelines) le 18 avril au matin, a-t-on appris de source judiciaire.
Trois autres ont été mis en examen pour "non empêchement de la commission d'un crime". Le parquet a requis le placement des huit prévenus en détention provisoire. Un neuvième suspect interpellé devrait être présenté à un juge vendredi matin. Un dixième arrêté mardi a lui été remis en liberté.
Selon la police, cette bande originaire du même quartier des Mureaux avait l'habitude de commettre des vols et des violences sur cette ligne SNCF. La lycéenne de 18 ans s'était vue voler son téléphone mobile, son MP3 et ses papiers.
Grâce à de l'ADN retrouvé sur des préservatifs usagés et à des images de vidéosurveillance, les enquêteurs de la Sûreté départementale ont pu remonter la piste de ces suspects déjà connus des services de police. (Nouvelobs.com avec AP)

15 octobre 2009

Obama prix Nobel de la Paix...

Les forces de l'Otan:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Force_internationale_d%27assistance_et_de_s%C3%A9curit%C3%A9


Les dix Français tués en Afghanistan en 2008:

l'Italie mise en cause

NOUVELOBS.COM | 15.10.2009 | 08:03


Selon le quotidien britannique The Times, les Français avaient mal évalué le risque de leur mission car l'armée italienne ne les avait pas avertis qu'elle payait les talibans pour maintenir la région en paix.

 

Selon The Times, les responsables militaires occidentaux étaient au courant des paiements mais les troupes françaises nouvellement arrivées n'en avaient pas été informées.

Selon The Times, les responsables militaires occidentaux étaient au courant des paiements mais les troupes françaises nouvellement arrivées n'en avaient pas été informées.

(c) ReutersLes 10 soldats français tués dans une embuscade en Afghanistan près de Kaboul en 2008 avaient mal évalué le risque de leur mission parce que les Italiens ne les avaient pas averti qu'ils payaient les talibans pour maintenir la région en paix, a indiqué The Times jeudi 15 octobre.
Selon le quotidien britannique, les services secrets italiens avaient versé des dizaines de milliers de dollars aux commandants talibans et aux seigneurs de guerre locaux pour maintenir en paix la région de Saroubi, dont les militaires italiens avaient la responsabilité avant d'être remplacés par les Français.
Les soldats français étaient déployés depuis à peine un mois quand 10 d'entre eux furent tués en août 2008 dans une des embuscades les plus meurtrières tendues par les insurgés contre des forces de pays membres de l'Otan.

Peu équipées

Selon The Times, les responsables militaires occidentaux étaient au courant des paiements mais les troupes françaises nouvellement arrivées n'en avaient pas été informées.
Les forces italiennes qu'elles remplaçaient n'avaient subi qu'un mort au combat dans les mois précédents et les troupes françaises ont fait une "évaluation incorrecte des risques aux conséquences catastrophiques" dans la zone parce qu'elles ignoraient les paiements effectués, affirme le quotidien.
Cela explique, ajoute-t-il, qu'elles étaient relativement peu équipées et comptaient sur une couverture aérienne insuffisante quand elles ont été prises dans une embuscade par 170 insurgés lourdement armés.
Les talibans et la faction insurgée de Hezb-e-Islami avaient revendiqué l'attaque.
"Cela peut se justifier d'acheter des groupes locaux et d'utiliser la non-violence pour baisser le niveau de violence. Mais c'est de la folie de ne pas en informer vos alliés", a affirmé un haut officier de l'Otan cité par le quotidien.
Les 10 soldats français qui effectuaient une patrouille de reconnaissance avaient été tués lors de combats de deux jours consécutifs à l'embuscade. 21 autres avaient été blessés.
La majorité d'entre eux appartenait au 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) de Castres (sud-ouest de la France).

(Nouvelobs.com)

14 octobre 2009

De Nicolas à Jean Sarkozy...

14 octobre 2009

Jean Sarkozy, un air de famille.

HAUTS-DE-SEINE

Dossier : retour sur l'affaire Jean Sarkozy

NOUVELOBS.COM | 13.10.2009 | 20:04


Voici un recueil des articles publiés depuis l'annonce de la candidature de Jean Sarkozy au conseil d'administration de l'Epad :

Le jeudi 8 octobre
, un conseiller général des Hauts-de-Seine confirme que le fils cadet du président de la République, Jean Sarkozy, 23 ans, va se porter candidat à la tête de l'Etablissement public d'aménagement du quartier d'affaires de La Défense (Epad). Aussitôt, c'est la polémique. La droite, pour qui les critiques sont infondées, soutient son poulain, tandis que la gauche s'élève unanimement contre Jean Sarkozy.

D'aucuns reprochent au jeune homme de 23 ans, actuellement en deuxième année de droit, de ne pas être qualifié pour le poste. Et, surtout, y voient l'influence directe de son père, Nicolas Sarkozy.
Faux, répond Jean Sarkozy, en rappelant qu'il connait "tous les dossiers" en tant que chef de file de la majorité départementale au conseil général. Il "demande à être jugé non pas sur l'état civil mais sur les actes et sur les résultats".
Le premier à marquer son soutien est Patrick Devedjian, ministre chargé de la mise en œuvre du Plan de relance de l'économie, et actuel président de l'Epad. "Aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années", commente-t-il.

Vendredi 9 octobre. A gauche, on s'insurge. "Népotisme", "privilège de naissance", "confusion des genres"… L'arrivée annoncée du fils du chef de l'Etat à la tête de l'Etablissement public de la Défense provoque l'exaspération des ténors du Parti socialiste, bien décidés à lui barrer la route.

Samedi 10 octobre. Chez les Verts, Cécile Duflot estime : "Il ose tout. Et tout le monde plie parce qu'il a le nom qu'il a". "Dès qu'on sort des limites de l'Hexagone, les gens trouvent ça juste invraisemblable, inouï. Inouï que le fils du président de la République, à 23 ans, puisse devenir président d'un établissement public avec un (tel) budget", dit-elle.

Dimanche 11 octobre. Une pétition est lancée, par un conseiller municipal Christophe Grébert, conseiller municipal (MoDem) de Puteaux, demandant au fils du président de la République, de "renoncer à postuler à la présidence de l'Epad". Elle réunit vite des milliers de signatures, plus de 4.000 le dimanche soir.

Lundi 12 octobre. La polémique enfle, l'UMP exprime son soutien plus clairement. Frédéric Lefebvre juge les critiques "détestables" ; pour Patrick Devedjian, "il apprendra" ; pour Patrick Balkany, maire UMP de Levallois-Perret, Jean Sarkozy est "peut-être" encore plus talentueux que son père au même âge ; et Xavier Bertrand rappelle que "le début du parcours de Jean Sarkozy est dû à une seule chose : l'élection". Donc, plus rien à dire.
Les "fils et filles de" en politique entrent tout de même dans le collimateur des critiques."Ne mélangeons pas tout !", s'emporte le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, alors qu'on compare son ascension politique à celle de Jean Sarkozy. "On ne m'a pas donné une circonscription", a insisté Jean-Louis Debré. "Ce n'est pas la circonscription de mon père, c'était une circonscription que j'ai gagnée".
De son côté, Julien Sage, jeune maire-adjoint de Nanterre et administrateur de l'Epasa, envoie à Jean Sarkozy un courrier dans lequel il dit ses doutes sur les capacités du jeune homme. Il est "dégouté".
A l'étranger le sujet fait ironiser. La presse anglo-saxonne moque le "Prince Jean de Sarkozyville".
Sur le web, les internautes se donnent un nouveau jeu : imaginer Jean Sarkozy partout, et surtout aux postes les plus inattendus. Jean Sarkozy est ainsi sacré prix Nobel de la Paix, secrétaire général de l'ONU, ou encore modèle pour le prochain buste de Marianne.

Mardi 13 octobre.
Si Nicolas Sarkozy reste curieusement silencieux depuis le début de l'affaire, les poids lourds de l'UMP viennent en renfort. Le premier, François Fillon estime qu'"il n'y a pas lieu d'en faire une polémique", estime-t-il. Luc Chatel est "choqué" qu'on attaque Jean Sarkozy sur sa famille.
Tandis que de son côté, Jean Sarkozy continue de se défendre à travers une interview dans Le Parisien."Je trace ma route", dit-il, car "quoi que je dise, quoi que je fasse, je serai critiqué".
Le reste de la presse française ironise royalement : "Il a l'avenir devant lui et son papa derrière", fulmine Jean-Marcel Bouguereau dans la République des Pyrénées. Et surtout, aucun n'est convaincu, comme le montre : "En dépit de toutes les explications alambiquées fournies hier par les conseillers et ministres (...) la cause est indéfendable", écrit Michel Lepinay dans Paris Normandie.
Seul au PS à émettre un bémol, Julien Dray juge "un peu injuste le procès qui est fait" à Jean Sarkozy parce qu'"il s'appelle Sarkozy et qu'il a 23 ans" et lui reconnaît "un certain talent".

En fin de matinée, Nicolas Sarkozy est interrogé sur l'affaire au sortir d'une conférence de presse, et vole au secours de son fils : "Tout ce qui donne en pâture une personne, sans fondement, de façon excessive, ce n'est jamais bien".
De leur côté, les députés UMP sont plutôt partagés entre gêne et agacement. "Il y a un problème de ressources humaines dans les Hauts-de-Seine", ironise l'un d'eux, sous les applaudissements. Le patron des députés UMP, Jean-François Copé, clôt la réunion.

(Nouvelobs.com)

14 octobre 2009

De Rosemarie Trockel à Elles@centrepompidou...

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14 octobre 2009

Dessins...stylo à bille, fusain, pastel sec, graphite.

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14 octobre 2009

Dessins...

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14 octobre 2009

Dessins...

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